S’arbrifier ou pour une approche empathique du végétal Exemple de "L’En vert de nos corps" de Christine Van Acker
DOI :
https://doi.org/10.26881/erta.2025.41.01Mots-clés :
empathie, environnement, souci, sensibleRésumé
The purpose of this article is to analyze a possibility of an empathetic approach to plants, and beyond, to the environment in L’En vert de nos corps by a Belgian writer Christine Van Acker. At the intersection of care theory and ecocriticism, we study three ways which this empathetic approach chooses to restore the lost bonds between humans and non-human beings: the sensuous (in the David Abram’s and Jacques Tassin’s meaning), art, and identification. Our analysis shows that the empathy, considered as the ability to understand, to share experiences and to take care, involves an array of attitudes required nowadays in front of environmental crisis and our interspecific vulnerability which comes within: arts of noticing (Tsing), exploration, awareness of the very complexity of our environment and the capacity of marveling. It makes the empathy participate in regenerating our relationship with nature.
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