Rysunki Giovanniego Battisty Tiepola z kolekcji gdańszczanina Jacoba Kabruna - kilka uwag o ikonografii
Abstrakt
L’objet de l’analyse constituent cinq dessins de Giovanni Battista Tiepolo, provenant de la collection de Jacob Kabrun. L’objectif de l’article est de proposer quelques nouvelles remarques concernant l’iconographie, étant donné que l’identification de deux scènes était jusque‑là impropre. Quand même, dans le cas de la composition intitulée St. Michel, anges et démons, l’interprétation mauvaise était déjà signalisée dans la recherche précedente. En faite, le dessin présente Archange Gabriel de la scène d’Annonciation. La figure est effectuée dans la façon différente de la groupe des personnes à gauche. Ces derniers sont conformes stylistiquement au groupe de démons dessiné à verso de la carte donné, qui sont modelés au lavis. Au contraire, Archange Gabriel est dessiné aux hachures parallèles – la méthode caractéristique pour premiers réalisations à la plume de Tiepolo. Cette figure avait donc été réalisée pus tôt et on la retrouve dans plusieurs réalisations d’environ 1720, par exemple dans le tablaux L’Annonciation de Cracovie.
L’identification mauvaise est aussi le cas d’un autre dessin de la collection Kabrun. Intitulé St. Michel et démons, il présente en faite la scène allegorique inspirée par la mythologie. En ce qui concerne la figure principale, elle présente Minèrve Pallas. La figure à droite présente Apollo, ce qui devient évident si on prend on considération les attributs. Elle trouve son homologue stylistique dans la peinture Trionphe de David de Louvre. La scène présente le sujet allégorique, plus précisement – un trionphe des patrons des arts (Minèrve et Apollo) sur la vice (figure à gauche). Il est donc impropre de placer cette composition parmi les dessins «angéliques» de Tiepolo.
Le verso de la carte présente une épisode de l’histoire de serpent de bronze. L’anatomie des figures correspond à celle de Madonne de Carmel, ce qui selon recherches précendentes confirme le temps de réalisation vers 1720–22. En ce qui concerne le sujet et le dynamisme de la scène, on indique la peinture encore plus tard – Le serpent de bronze de 1735. Les analogies de la forme, ainsi que la composition prouvent que le repertoire de formes liées au ce sujet était déjà bien établi dans les années 1720. Le dernier dessin de la collection Kabrun – St. Capucin convertant un hérétique – le témoigne aussi. On retrouve la figure de moine dans les nombreuses réalisations d’artiste, aussi bien parmi les tableaux que les dessins tardives, comme Le miracle de St. Patrick et les études pour cette peinture, ou St. Fide et St. Joseph écrasant l’hérésie. Comme c’était le cas du dessin précédent, n’étant pas directement lié à l’aucune tableau, il signale la longévité des formes bien definiées déjà au debut de l’activité artistique de Tiepolo. Ce dernier facteur souligne additionellement l’importance et charactère exceptionel des dessins de la collection Kabrun.